Préparation du site et conseil pour l’aménagement d’un nouvel espace d’animation au CIRAC. Rendez-vous l’été prochain pour découvrir ce jardin en terrasse, restauré et replanté avec des arbres fruitiers. Et en prime, un chouette « mobilier naturel », concocté par nos soins.
Une nouvelle base pour Nature-Projects, entre Durbuy et Laroche-en-Ardenne. Un authentique chalet, sur un terrain boisé, et avec des emplacements pour la tente… Et en été, nous installons le tipi !
Mieux connaître la montagne et la nature en hiver : une formation de 5 jours dans les Hautes Alpes. Au programme : recherche des traces d’animaux, étude de la neige et des avalanches, trucs et astuces des peuples du froid,… Logement en refuges confortables et une nuit sous tente. Plus d’infos sur demande.
Le moment arrive ! Pensez à poser des nichoirs dans votre jardin dès l’automne. Les oiseaux nicheurs exploreront les endroits pour installer leur futur nid pendant plusieurs mois avant de se décider. Les nichoirs seront propres, de préférence exposés au sud-est mais à l’abri du soleil direct. Et bien sûr hors d’atteinte des chats (et des écureuils). Plus d’info chez Natagora.
Grimper dans les arbres, c’est avant tout respecter leur biologie, leurs caractéristiques, leur avenir. Un exemple : pas de frottement de corde contre l’écorce plus que nécessaire, grâce à l’utilisation d’une fausse-fourche, dispositif non blessant et entièrement amovible.
Lever de rideau sur les Hautes Fagnes en ce beau matin d’automne. Au gré de la visite d’une méthode agro-environnementale « Prairie de Haute Valeur Biologique », non loin de Sourbrodt, nous profitons de la rencontre avec la biche et son faon. Si, si, cherchez bien !
Un loup aurait été aperçu dans les environs de Gedinne fin août. Info ou intox ? Outre qu’on se demande à qui profiterait un tel canulard, il est tout à fait vraisemblable qu’un loup parvienne jusque dans nos Ardennes.
Les loups vivent en meute, très organisée, mais il arrive de temps en temps qu’un individu adulte quitte la meute, aparemment faute de pouvoir y intégrer une place dans la hiérarchie. Les loups solitaires sont en général rejetés par les autres meutes. Or l’animal est un coureur de fond hors normes : il peut parcourir 80 km en une nuit, au petit trop. Profitant de la continuité des massifs forestiers, il est donc tout-à-fait possible qu’un loup en quête de territoire vierge parcourre plusieurs centaines de kilomètres depuis son point d’origine.
Faut-il se réjouir de ce passage ? Oui et non. Non, d’abord parce que son retour n’est absolument pas préparé dans l’organisation du milieu rural et pourrait même aller à l’encontre de certaines actions en faveur de la biodiversité. Ainsi par exemple, l’élevage extensif de moutons de races locales menacées (méthode agro-environnementale subventionnée) ferait sans doute les frais d’un retour du loup, prédateur privilégié du mouton. Oui, parce que le loup est un « espèce parapluie », entendez par là que si le loup se porte bien, cela témoigne que tout un écosystème est correctement protégé et en situation d’amélioration.
A suivre…
C’est un faucon habitant les falaises côtières, grand migrateur : 9500 km, de la Méditerrannée jusqu’à Madagascar ! En Méditerrannée, il niche au mois d’août sur des ilôts rocheux peu fréquentés (éh oui, ça existe encore). Nous avons été à sa recherche à Tilos, dans le Dodécanèse. Merveilleuse petite île (60 km²) entièrement en Natura 2000, avec un projet LIFE bien actif, pour le faucon Eléonore et l’aigle de Bonelli. A visiter absolument si vous passez dans le coin…
Traversée exceptionnelle d’un sanctuaire pour la nidification des oiseaux en Ecosse : au moins 12 espèces hyper protégées nichent dans le biotope que nous avons pu exceptionnellement traverser. Grâce à l’ouverture et au professionalisme de la Cairngorms National Park Authority.
